IsB, La beauté qui fait du bien

Une cosmétique éco-responsable qui vous invite dans sa légende

J’ai fait connaissance d’IsB il y a environ 12 ans. A cette époque-là la cosmétique bio était à peine émergeante. Il y avait quelques marques antérieures et historiques comme Welleda et tout le reste était très « inaccompli », cela ne faisait pas de mal, mais guère plus. Pas de vrais résultats, les odeurs étaient peu agréables, il arrivait que cela déclenche des irritations cutanées, les textures ne se tenaient pas, les dates de péremption étaient très courtes. Je savais que là était la voie mais rien de tangible et de sérieux. Ce qui était normal car tout le monde cherchait dans ce nouveau territoire et il fallait trouver un savoir-faire inédit. A ce moment là, à l’occasion d’un voyage à Rennes à l’hôtel Lecoq Gadby, je découvre une marque fondée sur la malothérapie (l’usage des pommes pour la santé et la beauté), bio et en développement durable. Le baume était une véritable compote de pommes qui vous sautait aux narines et veloutait la peau durablement, l’huile de massage était un véritable élixir de pommes, quant au gommage non seulement il exfoliait presque à la demande visage ou corps mais il laissait la peau très hydratée. Je découvre que de surcroit, tout est éco-responsable : les packaging, les étiquettes, l’encre. Absolument tout. En avançant dans cette découverte, je fais connaissance de la créatrice et je réalise que cette marque est l’expression de ses croyances les plus profondes. Nous ne sommes pas dans un concept marketing mais dans un chemin de vie authentique. Depuis cette époque-là, IsB a grandi, évolué, s’est adaptée en même temps que le marché du spa qui prend de plus en plus cette voie de pureté et de protection de l’environnement. 

Depuis j’ai revu régulièrement Véronique Brégeon, j’ai eu l’occasion de recevoir des soins avec ses produits ainsi qu’avec ses adaptations dans d’autres établissements que le sien. Je partage aujourd’hui avec vous cette marque qui s’appuie sur un terroir et une tradition et participe à la légende d’une beauté durable et écologique actuelle. » 

Une avancée à l’écoute du terrain

Dans un premier temps, Véronique Brégeon a développé plein de produits car c’était la demande du marché : corps, visage, confort. Mais, c’était toujours les mêmes qui se vendaient. Par ailleurs, dans le spa Villa Gadby attenant à l’hôtel, il devint évident que les esthéticiennes utilisaient les mêmes produits. Par exemple l’huile de massage était utilisée à la fois pour le corps et le visage. C’est ainsi qu’il devint évident que tout était concentré sur l’huile, le baume et le gommage. Du coup les esthéticiennes étaient ravies car elles fidélisent une clientèle sur une gamme courte et les clients étaient ravis car la salle de bain devint le lieu des produits qui peuvent servir à toute la famille et qui sont beaux (car le packaging est très beau), qui sentent bon et qui ont des effets très probants. Donc pourquoi multiplier les produits quand on en a trois qui répondent à tous les besoins

Il fallait juste changer les habitudes : les clients qui étaient habitués à être sollicités plusieurs fois par an par une nouvelle création de crème, ne comprenaient pas au début que IsB soit dans la globalité de l’approche sans découper les besoins de peau pour le visage (les rides, la sécheresse, l’hydratation, le relâchement, etc). C’est l’usage qui a été déterminant. 

Mais Véronique qui est toujours attentive aux réactions de son personnel, précise : « Ce qui a été déclencheur pour moi,  c’est quand les esthéticiennes sont venues me montrer leurs mains qui étaient blanches et douces, alors que souvent autrefois leurs mains agressées par trop d’huiles essentielles et d’actifs agressifs, étaient rouges et sèches. Cela a aussi déterminant pour moi car ces produits sont bons pour le client, le personnel et la planète. » 

IsB, tout un chemin dans les spas qui mène à aujourd’hui  

Tout a commencé il y a quinze ans, l’hôtel Lecoq Gadby existait mais pas le spa tel qu’il existe aujourd’hui. Véronique Brégeon nous raconte : « Nous avons ouvert le spa dans un des bâtiments de la maison. Et je ne trouvais en Bretagne que des cosmétiques marins. Cela n’avait pas de sens pour moi de créer des protocoles avec des gammes marines, alors qu’on était en pleine ville de Rennes et surtout dans un jardin où il était de tradition de broder sous les pommiers. J’ai toujours vu pendant mon enfance ma grand-mère et ma maman broder dans le verger. Avec mon mari et mes enfants, nous sommes allés à Becherel un village de libraires proche de chez nous, afin de fouiller dans les vieux livres pour savoir s’il y avait eu quelque chose autour des pommiers. On s’est rendu compte qu’Hildegarde de Bingen (la mystique du XIIe siècle, connue pour ses actions de guérison) faisait à la fin de l’hiver une cure de pommes pour se purifier intérieurement et à l’extérieur se couvrait la peau de marmelade de pommes. C’est de cet usage que découle le mot « pommade ». Partant de ce constat nous nous sommes dit que nous avions trouvé ce que nous cherchions avec la pomme. Nous avons eu à cette époque-là une opportunité. Une coopérative avait créé un centre de recherche pour faire des extraits de polyphénols de pommes. Ils cherchaient quelqu’un pour développer une marque de cosmétiques. Ils ont venus nous voir en nous disant « Nous voulons travailler avec vous ». Donc, nous avons développé notre marque avec un laboratoire breton. Cette proximité était importante pour nous. Nous avons donc créé et lancé IsB. »

La légende d’IsB une idée de l’éternité

Mais ce nom si beau et mystérieux, d’où vient-il ? Le nom IsB vient de la légende du roi Arthur et de Is Berna, une petite ile. A Avalon reposent les plus valeureux chevaliers de la Table Ronde et cette ile  porte trois pommiers dont les pommes d’or se renouvèlent éternellement et apportent à ceux qui les mangent force et régénération éternelle. Ainsi, tout naturellement IsB est : « la beauté révélée par la pomme ». Le nom parfait pour porter cet idéal de beauté, d’éternité, de naturalité et de simplicité, car la pomme est un fruit d’une grande simplicité qui par sa rondeur évoque la féminité. D’ailleurs Véronique Brégeon le précise : «  Pour moi, s’appuyer sur un fruit simple au service de la beauté, est un défi féminin. La pomme pousse en France et ailleurs, en Bretagne, en Normandie, dans le centre de la France. Au Japon offrir une pomme à noël est un très beau cadeau. Nous retrouvons la symbolique de la pomme au fil de l’histoire et dans presque tous les pays. »

La pomme, une ressource inépuisable pour notre quotidien

Tout est bon dans la pomme : la peau, la chair, les amandes, les pépins. On peut extraire les polyphénols ainsi que le marc qui va servir au gommage et peut être adapté en plusieurs granulométries qui permettent d’avoir une exfoliation plus ou moins puissante, douce ou abrasive. Ainsi ce produit peut être utilisé pour le corps ou le visage. Le marc de pomme est vendu à la cliente qui peut elle-même renforcer son gommage selon ses besoins. Du coup, IsB propose trois produits : l’huile de massage, le gommage et le baume qui reprend la notion d’onguent. En plus de ces produits, se rajoute un lait corps et un shampoing.  

Un développement responsable et exigeant

Lorsqu’on réalise que IsB a été créé il y a 15 ans environ, à une époque où il fallait défricher le territoire du bio et du développement durable. Tout était à inventer et à mettre en place. Lorsqu’on sait à quel point il est compliqué de créer n’importe quelle marque de cosmétiques entre la vision, le concept, les ingrédients, les labos, la législation, la mise sur le marché, sans parler ensuite de la commercialisation, on peut se demander ce qui a poussé sur cette voie si difficile quelqu’un comme Véronique Brégeon dont ce n’était pas du tout la culture. Elle lève le voile sur ce mystère : « Je n’ai jamais eu envie de créer une marque de cosmétiques. Cela n’a jamais été mon projet de vie. J’ai éprouvé le besoin de cette création car je voulais donner du sens à mon spa. Je voulais utiliser les ingrédients locaux, avec un impact CO2 très bas et qui raconte une histoire qui ait du sens, avec une vision globale et une démarche de vie. J’ai créé Isb il y a 15 ans où tout ce mouvement éco-responsable n’existait pas. Donc cela a été reconnu comme démarche innovante et précurseur. Du coup j’ai eu la chance d’être invitée dans pas mal de conférences pour expliquer. Donc j’ai eu des gens qui sont venus spontanément de l’univers des thermes ou du spa. Il y avait ceux qui étaient en Normandie avec la pomme, mais ceux qui étaient en Bourgogne où j’ai utilisé le cassis. Charles, mon fils,  qui est ingénieur agronome a pu créer des produits avec des laboratoires bretons. Peu à peu j’ai eu des spas, des hôtels, et différents clients qui voulaient une marque qui raconte une histoire. » 

Les produits IsB sont efficaces pour la beauté mais également ont des résultats exceptionnels qui ne sont pas mis en avant pour des raisons de législation. Cependant, les retours d’expérience des clients démontrent les bienfaits du baume sur tout ce qui est herpès, cicatrisation. Il est très protecteur pour les gens qui font du bateau, du sport en plein air, pour les peaux agressées assez violemment. Porté en couche plus épaisse, il devient un masque de nuit. On se réveille le matin avec un effet fraicheur. Cet effet fraicheur est un fil conducteur pour tous les produits IsB. Le gommage ne nécessite pas de rinçage sous la douche, il nourrit la peau et peut être éliminé avec un gant. On économise l’eau et des serviettes.  En fin de gommage,  il n’en reste rien sur la peau.   C’est un grand confort pour la cliente qui passe directement du gommage au massage. On gagne du temps, on est éco responsable pour les esthéticiennes tout en étant écologique. 

Les produits sont  bio, le packaging est éco-responsable : en verre et pas en plastique, à l’origine il y avait un cartonnage qui a été remplacé par des sacs en tissu à réutiliser.  Les étiquettes sont en papier recyclé et avec de l’encre verte. 

Mais il n’y a pas que la marque de cosmétique IsB qui soit éco-responsable, il y a également l’hôtel, Lecoq Gadbyet le spa, la Villa Gadby. Ces deux bâtiments reposent sur les mêmes critères. Mais en encore une fois, il y a 15 ans, toute cette mouvance dans cet univers du bien-être était embryonnaire. Véronique nous explique : «  Le spa n’était pas le même qu’aujourd’hui. Il était moins éco-responsable qu’aujourd’hui car il avait été construit dans l’ancien grenier de mes grands parents. C’était une structure bois avec la lumière du jour, avec récupération de la chaleur par l’exposition sous les toits. C’était, à l’époque, du bon sens. Car tout ce que l’on fait aujourd’hui pour être dans une approche de développement durable, de mon point de vue, c’est du bon sens qu’on avait oublié. Depuis tout a été refait dans les règles de l’art »

Comment se porte IsB actuellement ?

La marque IsB se porte bien, elle est vendue et utilisée dans le Spa Villa Gadby. Compte tenu de la qualité des produits elle est très appréciée des femmes enceintes. Du coup le spa a développé un protocole spécial femmes enceintes. La demande est importante. En ce moment il y a une moyenne de trois femmes enceintes qui viennent se faire masser par jour. L’élément le plus surprenant est que les femmes enceintes viennent recevoir des soins en duo afin que ce partage avec le papa soit l’occasion d’une reconnexion du couple. 

L’offre cosmétique, très étrangement, a permis de booster le tourisme local. Les gens de Rennes même ou de 10 à 15 km viennent à l’hôtel, comme dans une maison qui, même si elle est en centre ville, est en pleine verdure avec un vrai moment de détente globale et avec une offre cosmétique sécurisante et apaisante. La pomme joue son rôle dans cette expérience : les cosmétiques sont à base de pomme, les produits d’accueil dans les chambres sont des pommes du jardin, tout cela contribue à cette déconnection à 2 ou 3 km de chez soi. Lorsqu’on adopte IsB on adopte le moment de détente authentique 

Mais au-delà de faire des produits spécifiquement à base de pomme pour IsBVéronique Brégeon a des propositions clés en mains de produits et protocoles adaptés pour d’autres établissements dans d’autres régions avec les produits locaux. Elle crée avec tous ses critères et son expérience des produits qui correspondent précisément à leur histoire. Ils y mettront leur nom associé à la mention « by Isb »

Ainsi, par exemple, Toute une gamme a été créée pour des thermes situés en Normandie et au cœur d’une forêt primaire. Les produits étaient à base des extraits de ces arbres-là.

Autre exemple : Pour un spa en Bourgogne, Véronique a créé toute une gamme à base de cassis de bourgogne. C’est Charles Brégeon, qui fait une recherche sur les plantes locales, trouve les actifs, et met au point les formules. 

En conclusion : cela fait du bien de voir que non seulement il y a une marque avec des critères très exigeants qui se porte bien mais que par ailleurs, l’expérience de Véronique Brégeon lui permet d’être au service de spas, de thermes ou de projets de cosmétiques pour des développements de qualité. 

https://www.lecoq-gadby.com

https://www.ecocentric.fr/html/IsB

v.bregeon@lecoq-gadby.com

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