Oh my GOD !

Compatibilité entre plaisir et épanouissement sacré

Cela vous choquerait que nous parlions d’un godmichet comme outil de stimulation du 1^er chakra, de réharmonisation du vagin ou de détente du périnée ? Pourquoi ? Parce que cela pourrait donner du plaisir en plus ? Parce qu’un « gode » ne ressemble pas à un objet spirituel ? parce que vous avez été élevée dans la séparation du plaisir et du sacré ? Parlons-en.

Très souvent et dans de nombreuses traditions l’engagement spirituel implique la chasteté, une abstinence sexuelle pour des raisons de concentration énergétique, parfois de mépris ou de jugement sur le plaisir physique. Que n’a-t-on entendu ? que le plaisir soit le fruit d’une sensualité mal gérée qui éloigne d’un accomplissement spirituel.

Or, toutes les traditions ne disent pas cela. Au contraire. La sexualité peut être une voie d’accomplissement. Cependant, le but n’est pas le plaisir mais une quête énergétique de complétude sacrée.

Mon objectif, aujourd’hui est de me focaliser sur le périnée, le vagin, le 1^er chakra et d’en aborder l’équilibre énergétique sous l’angle holistique.

Un peu de physiologie au travers d’expériences

Pour entrer dans cette étude, je dois livrer quelques éléments de mon expérience.

• Manipulation vaginale : Il y a plusieurs années, j’ai dû subir une opération qui a contraint le chirurgien à pousser les viscères vers le bas. L’opération a parfaitement réussi, mais par la suite j’ai eu des douleurs insupportables au niveau du périnée. J’ai consulté une ostéopathe spécialisée dans le suivi post-accouchement de femmes qui vivaient les mêmes souffrances que moi.  Une séance de manipulation du vagin et de toute la zone périnéale, a suffi. Tout est rentré dans l’ordre immédiatement.
• La revitalisation ostéopathique : Il y a quelques années, une de mes amies, ménopausée et sans activité sexuelle, souffrait beaucoup du dos. Elle consultait régulièrement un kiné-ostéopathe qui la manipulait au niveau vaginal, C’est une technique très connue en kinésithérapie : le toucher pelvien. Il ne s’agissait pas de masturbation. Mais d’un toucher qui rétablissait la détente musculaire et la circulation énergétique. C’est très connu mais peu pratiqué à cause des interprétations de dérives sexuelles. Et pourtant ça marche ! Que de tensions éliminées. Les douleurs locales et du dos se sont arrêtées.

Tout cela m’a beaucoup fait réfléchir.

Le 1^er chakra, la racine

Cette région du périnée située entre les organes génitaux et l’anus est la zone du premier chakra. En principe le 1^er chakra est situé au coccyx.

Les chakras font référence à la tradition indienne ayurvédique. Ce sont des centres énergétiques dont les principaux (7) sont situés le long de la colonne vertébrale sur le plan éthérique (c’est-à-dire qu’on ne trouve pas les chakras sous le scalpel d’un chirurgien). Ils sont représentés par des fleurs de lotus avec chacun un nombre de pétales différent. Ils existent dans un plan subtil et ont chacun une énergie particulière (le 1^er la racine, l’ancrage gestion des besoins primaires, puis le 2^e la gestion du désir, le Hara, la force, le courage, puis le 3^e, le plexus solaire gestion des émotions, le 4^e, le cœur, gestion de l’amour, le 5^e, chakra de la gorge, gestion de la communication visible et invisible, le 6^e, le 3^e œil, gestion de l’intuition, de la vision visible et invisible et le 7^e, la Couronne, le contact avec le divin.

L’activation de ces énergies n’est pas simple et implique un vrai travail de compréhension, de pratique afin de les libérer. 

Mon travail de thérapeute énergétique m’a amenée à constater à quel point de nombreux désordres proviennent du manque d’ancrage, de refus d’incarnation, de blocages du 1^er chakra. Soit à cause de traumatismes, soit à cause d’héritages généalogiques. Et les gens développent des maladies clairement sourcées dans cette zone, ou plus couramment des déséquilibres ou du mal-être. Lorsqu’on rétablit cette circulation, tout s’arrange.

• La Racine et l’Ancrage

Puisque donc, le 1^er chakra condense tout ce qui va concerner l’incarnation, l’élément Terre, entrons dans le détail :

Il est donc situé au bas de la colonne vertébrale, au bout du coccyx et du périnée.

Dans sa représentation, il est de couleur rouge, c’est un lotus à 2 pétales.

Lorsque ce chakra est équilibré, vous vous ressentez en confiance, en sécurité et bien ancré sur la terre.

Lorsqu’il est déséquilibré, vous pouvez être hyperactif, avoir des troubles alimentaires ou des peurs liées à la survie, à la mort ou au manque en général. Vous pouvez vous sentir déconnecté de la réalité.

Comment rééquilibrer ce chakra ? le yoga, la méditation, la respiration centrée sur cette zone-là ou la stimulation de la zone périnéale avec un « godmichet ». On peut aussi travailler la terre consciemment (vive le jardinage conscient)

• La puissance de vie

Le 1^er chakra coïncide avec le lieu de la naissance : C’est par là que les enfants viennent au monde (sauf en cas de Césarienne). L’énergie sexuelle prend sa source dans deux chakras le 1^er et le 2^e qui ont des vibrations un peu différentes : Le 1^er, Muladhara chakra est très lié à la terre et aux besoins primaires et le 2^e Svadhisthana chakra est davantage lié au désir, à la libido, à la créativité. On le nomme également chakra sacré et il est en résonance avec l’élément eau. Les deux sont synergiques. La puissance de vie est un mystère qui est liée à l’incarnation, mais qui se trouve souvent piégée par nos névroses ordinaires, nos blocages, nos mémoires et par les influences sociales ou éducatives. Néanmoins, c’est de cela dont il s’agit.

J’ai longuement échangé avec Marie-Pierre Dillenseger au sujet de l’ancrage, de l’incarnation et de cette démarche dont je vous parle. Elle revient sans cesse à la définition des mots les plus usités dans la spiritualité. Elle parle de vibration. « La vitalité, dit-elle, le feu intérieur se perçoit en qualité vibratoire. C’est la condition de tout ». Quelle que soit notre recherche, tout le reste est pauvre littérature.

Précision très importante pour bien comprendre cet article : je suis une femme et donc dans toute ma démonstration, je fais référence à mon expérience. J’avoue ma méconnaissance de la manière dont cela se passe pour les hommes : hétéros ou homos. Quid de la stimulation du 1^er chakra ? Quid des accessoires de plaisir ? Mais peut-être que cette réflexion et cette interrogation conduisent justement à ne pas se focaliser sur les organes et sortir de la dualité pour mieux saisir : l’ancrage, l’orgasme, le plaisir, le côté sacré de l’incarnation.

Gym du périnée, boules de Geisha, pranayama Uddjayï

Il est très important de prendre soin de son périnée car il y a beaucoup de désordres qui surviennent à la suite d’une déficience de cette zone. Les kinés, des profs de yoga ou certains médecins proposent des pratiques pour fortifier et régénérer toute la région périnéale.  En particulier la docteure Bernadette de Gasquet en a fait toute une méthode. Elle tire même les sonnettes d’alarme sur des abdominaux mal faits et une gym périnéale mal conduite qui peut même susciter des désordres. Son travail est remarquable et très connu.

Les boules de Geisha : Cela existe depuis des millénaires pour fortifier les muscles du vagin. A l’origine, ce n’est pas un sex-toy mais plutôt un accessoire pour muscler le vagin et avoir la capacité de le resserrer à volonté pour donner plus de plaisir à son partenaire et en avoir également. Au-delà du plaisir pour soi-même ou pour l’autre, il y a un véritable intérêt à utiliser des « boules de Geisha » pour fortifier ses muscles, lutter contre les descentes d’organes ou les fuites urinaires ou simplement moins vieillir. Dans les traditions anciennes elles étaient également consacrées à la vitalité du 1^er chakra.

Les pranayamas du yoga : parmi toutes les respirations dans la tradition du yoga, il en existe plusieurs qui peuvent agir sur la stimulation du 1^er chakra (chakra racine) : l’Ujjayï ou le Mula (muladhara) Banda. C’est une pratique respiratoire destinée à stimuler une énergie interne très puissante. Vous ne saurez qu’en pratiquant avec un enseignant averti. Il y a une phase d’inspiration où on guide le souffle, puis une autre phase de suspension du souffle et pendant cette étape-là le pratiquant va faire un banda, c’est à dire une contraction-aspiration d’une zone musculaire. Puis dernière phase, une expiration très puissante où on remonte toute la région du plancher pelvien vers le haut. Attention, c’est un art très complexe où il convient d’être guidé par quelqu’un de vraiment compétent.

Plaisir érotique, sexuel, sacré ou spirituel.

La question qui se pose est : « si nous vivons une déficience de cette puissance de vie, comment faire pour la réveiller, stimuler ou guérir ? ». Il n’y a aucun problème pour cela. Les méthodes existent, il suffit d’être guidé et de pratiquer. Mais il s’avère que réveiller cette énergie-là, réveille en même temps du plaisir. Plaisir sexuel, sensuel ou érotique.

Qu’en est-il de l’orgasme ?

Quels sont les liens entre l’extase sexuelle et l’extase spirituelle ? sont-elles compatibles ? Y-a-t-il des passerelles de l’une à l’autre ? Ben ! oui ! et même, c’est une des bases. On peut très bien se tourner vers la sexualité tantrique (indienne, taoïste ou tibétaine) et être bouleversé par quelque chose qui ressemble comme deux gouttes d’eau à un orgasme. C’est le même rythme cérébral pour l’un comme pour l’autre.

Le moine, le religieux ou le pratiquant qui médite tout seul dans son coin avec aucun contact physique avec qui que ce soit et qui est purement en méditation, lorsque le Samadhi, l’illumination ou le Satori arrive, il est traversé par un orage énergétique que lui fait expérimenter le sentiment d’unité totale avec le cosmos et l’énergie universelle, exactement comme un orgasme ! Alors ????

Massages tantriques et sexualité taoïste

Ces deux voies sont des approches majeures qui ne peuvent se résumer en un paragraphe synthétique. Cette approche spécifique fera l’objet d’un article spécial. Il existe des multiples auteurs qui transmettent des enseignements en détail de la sexualité taoïste (Mantak Chia), ou de la voie de l’extase par le Tantra (Margot Anand) ou de massage ou sexualité tantrique (Jacques Ferber). Quelles que soient ces Voies-là, le principe est toujours le même : L’objectif est la rencontre sacrée avec le divin en soi, les retrouvailles avec la vie, la libération d’une énergie d’incarnation cosmique. Les pratiques sont différentes.

• Quelle relation ai-je avec moi-même et avec le monde ?
• Vivre l’unité
• Retrouver le mouvement du bassin par des pratiques douces
• Sentir et libérer le feu intérieur
• Se reconnecter à la présence

Écrire cet article m’a amenée à effectuer des recherches et à contacter Daniel Warnier qui pratique le massage tantrique (que je ne pratique pas). J’ai trouvé inspirante sa façon d’en parler : « Le massage tantrique est un voyage extatique intérieur, en intimité au cœur de l’univers que vous êtes, un authentique acte d’amour. Installé dans la lenteur et une extrême douceur, cet acte dénué d’intentions œuvre sur le corps physique et les corps énergétiques.

Son approche globale, alliant tendresse et sensualité, éveille en nous l’énergie vitale qui est ensuite diffusée dans chaque cellule de notre être.

L’espace sacré amène au lâcher prise qui permet de libérer ce qui a besoin de l’être et d’harmoniser les énergies en vous. Ce massage est issu de la philosophie tantrique, une philosophie qui invite à vivre en présence chaque instant de la vie pour y accueillir toute la joie qu’elle sous-tend. Le tantra, au travers du massage tantrique, est un vecteur puissant d’épanouissement, de guérison et d’éveil de conscience. Ce massage développe les qualités de sensualité naturelle du corps. Pour autant, il n’est pas érotique et encore moins sexuel. Le toucher tantrique stimule la sensibilité du corps pour ressentir la plénitude du moindre frémissement. Il amène à l’abandon, à un lâcher prise profond qui permet de découvrir des aspects jusqu’alors cachés. Les hommes découvrent leur sensualité libérée et les femmes reconnectent avec la sacralité de leur corps, tel un temple sacré. »

Que penser des sex-toys et autres adjuvants de plaisir ?

Lorsqu’on est dans une Voie spirituelle, on a tendance à regarder avec mépris tous ces instruments qui sont destinés à pallier le manque de plaisir. Quelle erreur ! tout cela dépend de l’intention. J’espère que cet article va au moins vous conduire sur le chemin de l’interrogation. Stimuler cette zone du périnée, permet d’avoir un équilibre tout simple et physiologique (détente des muscles, réduire les fuites urinaires, pallier la sécheresse vaginale), améliorer l‘énergie du 1^er chakra, donc de son ancrage et de son harmonisation de vie.

Quel serait un des blocages ? la compatibilité entre plaisir et spiritualité. Et si plaisir il y a, il doit venir de l’autre (du partenaire) CQFD : la masturbation, c’est mal vu ! quel dommage ! libérez-vous. C’est comme tout : Cela dépend de la manière dont vous faites les choses et de votre intention.

Imaginons :

Vous achetez un « vibromasseur » plus trivialement nommé « Godmichet ». Il imite plus ou moins le pénis. Il vibre à la pénétration dans le vagin et fait ce qu’il a à faire. Et globalement ça marche. Ce n’est pas trop compliqué et il y en a pour tous les goûts. Les sexshops d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec les échoppes glauques d’autrefois. De nos jours, il y a des boutiques très chics et même branchées où on n’a pas honte d’entrer et où les vendeuses vous conseille en toute simplicité sans vous prendre pour une « cochonne ». Souvenons-nous de Nathalie Rykiel qui avait créé une société qui vendaient ces objets de plaisir et qui se nommait « Oh My God ! » C’était vendu au Galeries Lafayette au rayon lingerie.  Et puis… Il y a les sites sur le web. Donc, facile.

Qu’est-ce qui vous empêche de consacrer spirituellement avec encens, bougies et prières afin qu’il vous apporte quelque chose que va vous libérer intérieurement ?

Mais à partir du moment où entrez dans cette réflexion et cette pratique du plaisir consacré à votre épanouissement sacré, la question se pose de « l’instrument ». Je ne vais pas entrer dans l’inventaire des sex-toys, mais je vais évoquer ce petit accessoire nommé womanizer 

Le womanizer ? de quelle énergie s’agit-il ?

Il s’agit d’un petit accessoire destiné au clitoris qui projette de l’air avec un certain rythme et une certaine intensité, ciblé précisément sur le clitoris. Le résultat sur le plaisir est très intense.

Par contre, qu’en est-il de la stimulation du 1^er chakra ?

Est-ce que le womanizer contribue de la même manière qu’un « god » pénétrant, à l’ancrage ?

Cela vaut le coup d’être exploré et réfléchi.

La Voie du milieu ? Une chasteté choisie

Avant de conclure cette réflexion que je partage avec vous, je souhaite évoquer ce par quoi j’ai commencé cet article : l’abstinence ou la chasteté liées à un engagement spirituel. Cela ne concerne pas que les traditions judéo chrétiennes mais toutes les approches spirituelles y compris en Asie (Inde, Tibet, Japon et Chine).

Il y en a pour qui la chasteté est imposée par la règle, le jugement et la condamnation. Et nous avons pu voir ce que cela entraine comme frustration donc de dérives. L’humain est ce qu’il est, et, heureusement il est libre, même s’il n’en a pas conscience vraiment.

L’énergie sexuelle est une grande énergie qui peut nous conduire très haut ou très bas. Elle peut nous libérer ou nous détruire.

En revanche, si elle est choisie et accompagnée avec lucidité et sagesse, sans obligation, et en veillant aux modifications énergétiques au fil du temps, car il y en a obligatoirement, alors il est vrai que la chasteté est un levier très puissant.

Par contre, cela vaut le coup de faire le point sur votre état énergétique avec quelqu’un d’éveillé. J’espère juste qu’avec ce conseil que je vous donne vous ne tomberez pas dans les filets d’un faux gourou, qui projettera sur vous et votre demande les scories de sa névrose personnelle. (Oui, oui, oui cela existe…et cela ne se voit pas au premier coup d’œil ) Quelle que soit votre motivation, l’abstinence n’est peut-être pas bonne pour vous ! Ce qui est bon pour l’un peut se révéler inutile et néfaste pour l’autre. Cela dépend de votre type d’énergie (c’est très important !), de votre karma, de la manière dont vous allez évoluer et surtout de ce que cette abstinence va réveiller (pas toujours le meilleur)

La fécondité du paradoxe

Et c’est là que nous faisons (ou au moins moi) un grand renversement, où après avoir affirmé l’intérêt de la stimulation pour l’ancrage, du 1^er chakra, de l’intégration du plaisir, voire de l’orgasme, je vais dire exactement le contraire.

Les traditions taoïstes, japonaises, indiennes ou tibétaines sont fondées sur ce paradoxe qui est le levier de la sortie du mental pour parvenir saisir l’essence du sujet :

• L’intention et le non-vouloir

Après avoir affirmé la nécessité de l’intention pour certaines pratiques afin d’en orienter l’objectif et les bénéfices, soyons conscients que cette extase quasi initiatique ne peut survenir que dans un lâcher-prise total soutenu par un non-vouloir de tout but. L’orgasme arrive ou n’arrive pas, quels que soient nos efforts et notre désir.

• L’orgasme : dualité ou présence incarnée

Après avoir affirmé que dans l’orgasme, on a la sensation de dilution dans le Grand Tout, où on perd pied concernant soi et le moment présent pour entrer dans une conscience cosmique où notre identité se dilue. A présent, je vais dire le contraire. Une exploration du tantra yoga et les échanges avec des maitres en la matière, l’extase qui survient dans la méditation autant que dans les pratiques sexuelles conduisent à la sensation de présence totale, d’incarnation, d’ancrage et de retour au corps. Ça c’est un vrai sujet !

• Le flou des affirmations

Méfions-nous des affirmations y compris celles qui viennent de traditions incontestables. On se sent sûr de soi lorsqu’on affirme qu’il y a 7 chakras, parce que c’est dans tous les livres qui font référence depuis des millénaires. Et pourtant, lorsqu’on reçoit des enseignements de maitres taoïstes ou tantriques, ils parlent de 6 chakras, puis de 8 ou de 9. Et il s’agit bien des chakras principaux et non des centaines situées sur tout le corps. Qu’est-ce que cela signifie ? où est la vérité ? Il n’y a pas de vérité !  On ne peut s’en sortir qu’avec l’expérience personnelle et en même temps : Ne nous laissons pas enfermer dans l’expérience qui est forcément limitée.

• La relation à soi et aux autres

Ces pratiques dont il est question dans tout cet article sont d’abord recommandées pour soi-même avec exigence, lucidité et alignement. En clair, tant qu’on est dans la quête de quelque chose en dehors de soi (plaisir, extase, rayonnement et même amour) on est foutu ! Revenons à nous. Travaillons sur notre terre à nous, avant d’aller trouver des solutions chez l’autre aussi accompli soit-il !

• Faire l’amour à la vie

La vie, toute entière est un paradoxe.

Vivons l’unité dans le mouvement et la fluidité.

Le plaisir vient de de surcroit

Quelques sources :

• Marie-Pierre Dillenseger : ses livres : « Debout la force de s’incarner », « S’ancrer pour se déployer ». https://powerspaces.com/fr/
• Daniel Warnier. A partir d’un échange téléphonique (facebook/instagram) masseur tantrique et description du massage sur son site : www.delicatessence.fr )

https://www.perineeshop.com/blog/index/categorie/695_gymnastique-perineale