
Une puissance qui fleurit dans les cheveux
Depuis les temps les plus anciens la chevelure est reconnue comme une manifestation de la vigueur intérieure. Dans la médecine chinoise, il est dit que les reins, la force ancestrale, cette énergie vitale avec laquelle nous venons au monde, trouve son expression dans les cheveux. Ils nous démontrent à l’extérieur notre vitalité intérieure et nous alertent sur les aléas de forme dont nous ne sommes pas toujours conscients. Cheveux mous, rêches, cassants, gras, fourchus, etc. sont des signes de notre santé physique et notre bien-être émotionnel.
Le langage populaire nous raconte l’importance des cheveux avec ses métaphores qui ont toutes un sens dans notre quotidien :
Avoir les cheveux dressés sur la tête pour « avoir peur »
Se faire des cheveux blancs pour « se faire du souci »
Quelque chose est « tiré par les cheveux » pour « très compliqué »
Arriver comme un cheveu sur la soupe pour « arriver mal à propos »
Dans les légendes, on se souvient de Samson, ce colosse invincible à l’abondante chevelure et que Dalila lui coupa. Il en perdit aussitôt son énergie.
Chez les Gaulois, la chevelure incarnait également puissance et virilité. Plus tard, elle devînt attribut royal.
Les indiens gardaient leur cheveux longs, car les couper signifiait la soumission à l’ennemi et l’humiliation. Les coiffures étaient très codifiées et interprétées concernant l’alignement de la pensée : les nattes signifient l’unité de la pensée ; les cheveux attachés illustrent la sureté de la pensée ; la couleur de la crinière témoigne de la conviction de la pensée. Nous constatons à travers ces exemples que la chevelure est considérée comme une extension de la pensée et chaque coiffure exprime un état d’esprit différent.
Dans l’Egypte ancienne, les cheveux avaient une grande importance au point que les pharaons portaient systématiquement une perruque. Les perruques constituées d’un mélange de cheveux naturels, de laine et de feuillage. Le niveau de sophistication des perruques était proportionnel au rang social.
Les cheveux ont donc une immense force, ils sont plus qu’une parure, ils semblent contenir en eux-mêmes la puissance et l’énergie.
De nos jours, le cheveu est devenu un message social, le marqueur d’une transgression, voire un mode d’expression : par exemple les punks ou les plus récents Seapunks et les cheveux bleus et roses mais aussi Lady Gaga qui a récemment été inspirée par la thématique au point d’écrire un titre « Hair », dont les paroles « I Am My Hair / Je Suis Mes Cheveux », en disent long.
La beauté sensuelle ou spirituelle de la chevelure
Mais la chevelure évoque également la sensualité voire l’érotisme. Depuis l’origine des temps les femmes ont coiffé leur crinière de manière à susciter le désir. Courts, longs, teints, retravaillés, qu’importe, les cheveux évoquent cette émergence sensuelle qui a marqué selon les cultures la nécessité de les cacher, de les montrer ou des les mettre en scène. Dans certaines traditions les femmes portent perruque, c’est à dire qu’on ne voit pas leurs vrais cheveux. Pour d’autres, la tête est voilée d’un foulard. Pour d’autres encore la tête est rasée pour punir une errance charnelle.
En ce qui concerne les engagements spirituels, bien que les détails varient, le principe est toujours le même. Les cheveux sont rasés ou bien juste une tonsure au niveau de la fontanelle postérieure ou encore la tête est rasée mais on laisse une mèche très longue qu’on ne coupe jamais et qu’on nomme mèche de Shiva ou mèche de Allah par laquelle la divinité est censée nous attraper.
Cette coutume de soustraire la chevelure à la vue est très authentique et importante. Il ne faut pas y voir une castration lorsqu’il s’agit d’un engagement avec le Divin. Nos cheveux sont des sortes d’antennes qui captent l’énergie externe lorsqu’ils sont libres mais qui concentrent sur les forces invisibles lorsqu’ils ne sont plus en relation avec le monde. Lorsque cette pratique est faite en toute conscience elle devient un outil très puissant de ressourcement.
Prendre soin de ses cheveux dans une vie urbaine
Il ne s’agit pas aujourd’hui de vous raconter tous les magnifiques traitements capillaires qui existent. Ils sont pléthores et aussi valeureux les uns que les autres. Entre les shampoings, les baumes, les huiles, les crèmes, les coiffants, etc. entre Aesop, Carita, Léonor Greyl, Opalis, Shue Uemura, Furterer, et les autres ! Tous sont exceptionnels.
Aujourd’hui, je voulais vous faire découvrir un outsider. Et pour cause il ne se positionne pas comme soin capillaire.
Il s’agit de la « Brume de soin cheveux » de Néomist. Vous souvenez-vous ? il y a quelques semaines je vous ai parlé de la marque de cosmétiques éponyme. La particularité étant la technologie Néovix Biosciences, les ultradrops. Des gouttelettes microscopiques qui brumisent sur la peau et ici sur les cheveux, les produits en une texture si fine, aérienne que la peau l’absorbe en toute légèreté.
C’est la 1ere brume qui parfume et soigne les cheveux. Un joli flacon turquoise qui enchante votre salle de bains ou se glisse dans votre sac à mains pour diffuser un nuage parfumé sur la chevelure. Aucun film gras qui pourrait alourdir, aucun alcool qui dessècherait, aucun agent de texture ou solvant qui viendraient agresser les fibres. La brume enveloppe d’un voile aérien les cheveux qui se trouvent immédiatement hydratés, protégés, nourris et nimbés d’une fragrance subtile et élégante. Tout est d’origine naturelle et très efficace.
Et le parfum me direz vous ? Oui les parfums ! Car la brume existe en 2 versions : l’une plus pétillante : Taira, fraiche, florale, fruitée à base de bergamote, poire, muguet et musc ; et l’autre : plus subtile Ynae, envoutante et profonde avec jasmin, citron, muguet, bois de santal et musc.
Essayez !
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