Salomé Becker, une auteure férue de sciences occultes

Ah, Galya Ortega ! Rien que ce nom résonne comme une énigme — parfait pour celle qui, sous le pseudonyme de Salomé Becker, s’aventure avec passion dans les territoires du mystère et de l’invisible.

Salomé Becker n’écrit pas simplement des histoires : elle tisse des sortilèges. Sa plume, à la fois fine et incisive, explore les arcanes de l’ésotérisme, les symboles cachés, les questions existentielles qui bousculent l’âme. Lire Salomé Becker, c’est accepter de franchir les portes du réel, d’arpenter les couloirs où l’ombre caresse la lumière.
Férue de sciences occultes, elle mêle astrologie, alchimie et traditions ésotériques pour créer des univers où chaque mot est une clef, chaque personnage un miroir.


Elle brouille les repères. Férue de sciences occultes, Salomé Becker convoque astrologie, alchimie, traditions secrètes pour bâtir des univers où chaque mot devient clef, chaque personnage, miroir. Elle écrit comme on pose un rituel : avec lenteur, intensité, intention. À qui sait déchiffrer, elle offre bien plus qu’un récit … une expérience.


Aujourd’hui, Salomé Becker se lance dans l’écriture d’un roman policier. Mais attention : pas un simple polar. Il s’agit d’un thriller initiatique, un récit tendu sur le fil des astres, où Paris devient décor et personnage. Le Paris ésotérique, vibrant de secrets, d’énergies, de traces laissées par les anciens rituels. Une enquête qu’on dévore jusqu’à l’aube, avant de partir hanter les ruelles de la capitale, à l’affût des signes laissés par les crimes… et qui révèlent au fond des vérités intimes sur notre propre psyché.

Tension, mystère, polar psychologique. Salomé Becker joue avec les zones d’ombre, les mirages. Ce qui est montré n’est peut-être qu’un écran de fumée. Ce qui est tu, bien plus révélateur. Le tueur avance, masqué, tapi entre les lignes. Que poursuit-il ? Une proie ? Une quête de sens ? Ou le reflet perdu de lui-même ?

Les indices qu’il sème sont-ils volontaires ? Maladroits ? Manipulateurs ? Peut-être que la clé ne réside pas dans ce qui est donné à voir, mais dans les silences, les creux, les vides… dans ce qui échappe aux regards trop pressés.


Ce qu’il veut vraiment se trouve peut-être là où personne ne regarde : dans les silences, dans les vides, dans ce qui ne se dit pas.

Dans les ruelles secrètes et les palais endormis de Paris, chaque meurtre trace une ligne sur la carte invisible des initiés. Entre les gargouilles silencieuses et les roses des vitraux, le sang versé devient offrande, et chaque énigme résolue ouvre la porte à un mystère plus vaste encore. Car au cœur de cette cité symbolique, rien n’est jamais achevé : les crimes initiatiques dessinent un labyrinthe dont nul ne possède le fil. Le mystère est entier — et il ne demande qu’à être dévoilé.

Tension, mystère, polar psychologique. Salomé Becker joue avec les zones d’ombre, les mirages. Ce qui est montré n’est peut-être qu’un écran de fumée. Ce qui est tu, bien plus révélateur. Le tueur avance, masqué, tapi entre les lignes. Que poursuit-il ? Une proie ? Une quête de sens ? Ou le reflet perdu de lui-même ?

Les indices qu’il sème sont-ils volontaires ? Maladroits ? Manipulateurs ? Peut-être que la clé ne réside pas dans ce qui est donné à voir, mais dans les silences, les creux, les vides… dans ce qui échappe aux regards trop pressés.

Dans l’ombre alchimique de Paris, chaque crime résonne comme un rite, chaque indice s’illumine d’un éclat secret. Les initiés savent que derrière les façades haussmanniennes, les symboles veillent, muets mais vivants, et que chaque meurtre n’est qu’un pas sur le sentier des révélations. Ici, le réel se fendille, laissant affleurer les archétypes anciens, les constellations oubliées, les serments murmurés aux pierres. Le mystère demeure intact, vibrant sous la peau de la ville — il attend, patiemment, l’âme assez audacieuse pour le dévoiler.

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