La sagesse interdite – Stéphan Schillinger

Il existe des savoirs qui ne meurent jamais.
Ils sommeillent.
Dans le silence des forêts primordiales,
dans les veines des plantes qui rêvent,
dans la mémoire des mystères antiques.

Ce livre ouvre une porte longtemps scellée.

De la Perse aux premiers sanctuaires chrétiens,
des hymnes védiques aux veillées chamaniques,
il remonte le fil oublié d’une communion originelle —
celle où l’homme, le végétal et l’invisible ne faisaient qu’un.

Et si le sacré ne s’était jamais retiré du monde ?
Et si ce n’était pas la divinité qui avait déserté l’humanité,
mais l’humanité qui avait cessé d’écouter ?

À travers les traces éparses des rituels archaïques
et les éclairages de la science moderne,
Stéphan Schillinger révèle un secret enfoui :
celui des plantes qui éveillent,
qui ouvrent la conscience,
qui rappellent à l’esprit sa nature illimitée.

Pour celles et ceux qui marchent en quête,
qui perçoivent derrière le visible une pulsation plus vaste,
qui savent que la lumière n’est pas dogme mais expérience —
ce livre est une offrande.

Il ne s’agit pas ici d’un plaidoyer,
mais d’un souffle.
Une invitation à se souvenir.
À réapprendre la langue des feuilles,
à honorer la voie intérieure,
à retrouver le sacré dans le vivant et dans soi.

À qui se souvient, l’invisible répond.
À qui écoute, la terre parle.
À qui cherche, le mystère s’ouvre.

Voyageur de l’âme et de la matière,
passeur entre mondes,
Stéphan Schillinger suit depuis plus de vingt ans
la trace du sacré vivant.

Nourri par les voies initiatiques — Jung, Jodorowsky,
chamanisme, méditation, silence —
il incarne une approche humble, ouverte, dépouillée de dogmes.

Il marche avec la question, jamais avec la certitude.
Il écrit comme on respire :
pour élargir l’espace intérieur,
pour honorer la mystique de l’existence,
pour rappeler que la conscience est un seuil —
et que chaque être porte les clés.

@paruncurieuxhasard

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