Je vous fais entrer dans mon écriture actuelle

Ce chemin d’écriture, d’ombres et de lumières, n’est pas terminé. Un roman est en gestation, un labyrinthe d’ésotérisme et de mystères, où chaque page sera une clef, chaque personnage un miroir, chaque mot une incantation. Préparez-vous : bientôt, vous plongerez dans cet univers où l’impertinence danse avec la spiritualité, et où la vérité ne se donne qu’à ceux qui osent la chercher.
L’inspiration derrière le voile

Je souhaite qu’on sente à la fois la provocation douce et la profondeur spirituelle d’une écrivaine comme Salomé Becker, qui ne se contente pas d’écrire un polar classique, mais fait de chaque ligne un rituel, une initiation. Un peu comme un alchimiste qui transforme le plomb des mots en or de la révélation.
Il y a dans ce ton un mélange de :
- Impertinence : ne pas se prendre au sérieux, interroger frontalement le sens même de l’écriture, secouer les idées reçues sur la littérature, bousculer le lecteur.
- Mystère et ésotérisme : inviter à une quête, comme un jeu où chaque symbole est une porte, chaque phrase un miroir à travers lequel on se regarde soi-même.
- Un souffle initiatique : écrire est une voie d’accomplissement, une traversée où l’écrivaine et le lecteur sont à la fois explorateurs et explorés.
- Un parfum de danger : l’écriture ici n’est pas confortable, c’est un feu qui brûle, un risque. La lame plutôt que la dentelle.
Je veux aussi que le texte soit comme une invitation, à la fois une provocation (“écrire ou mourir”), et une promesse : derrière ce voile d’ombre et de lumière, il y a une aventure profonde qui attend.
Ah, jouer avec le lecteur pour le perdre un peu… j’adore cette idée ! Créer un labyrinthe de mots, des miroirs déformants, des pistes fausses qui ouvrent pourtant sur des vérités cachées… C’est exactement ce qui fait vibrer l’écriture initiatique et ésotérique.
Des phrases à double fond

Des phrases qui semblent claires mais dont le sens bascule à la lecture suivante. Comme un écho, un reflet cassé, un secret qui se dérobe.
« Ce n’est pas le chemin qui importe, mais le pas que l’on pose, ou celui que l’on évite. »
Jouer avec les contradictions
Mettre en scène des paradoxes : la lumière qui naît de l’ombre, le mensonge qui révèle une vérité, la mort comme naissance. Le lecteur avance en cherchant une logique… qui lui échappe.
Des symboles qui se croisent et s’emmêlent

Introduire plusieurs systèmes de symboles (astrologie, alchimie, géométrie sacrée) qui s’entrelacent sans jamais s’expliquer complètement. Le lecteur est invité à bricoler sa propre interprétation.
Un narrateur ambigu
Un narrateur qui joue avec la vérité, qui glisse des indices puis les dément, qui rit à ses propres énigmes. Il devient un guide capricieux, un sphinx joueur.
Des personnages-miroirs
Des personnages qui reflètent non seulement la protagoniste, mais aussi le lecteur, dans ses doutes, ses contradictions. Le lecteur se perd dans leur psyché comme dans un miroir déformant.
Un teaser mystérieux :
“Ils disent que la vérité est un cercle. Mais personne ne précise s’il tourne ou s’il se referme. Dans ce roman, les signes ne sont que des masques, les secrets des labyrinthes, et la lumière, parfois, une ombre déguisée. Oserez-vous franchir le seuil ?”
