Le Serment – Mélodie Miller`

Deux époques et deux lieux résonnent en écho. Paris contemporain. Par-delà le temps et l’espace Bruges, la Venise du nord, ses canaux et son célébrissime béguinage. Les personnages : en 1830, à Bruges deux orphelines, sœurs, Marguerite et Louise 29 et 26 ans vivent au béguinage. Louise assiste à un drame terrible sans pouvoir intervenir et elle fait le serment de venger sa sœur ou de mourir.

De nos jours, Marjorie, parisienne de 29 ans vient de frôler la mort. Sa sœur Eloïse est torturée par des terreurs nocturnes. Une série de morts suspectes les alertent. Elles cherchent à comprendre et explorent les composantes de la famille. Elles observent craignant pour l’évolution de chacune d’entre elles.

Une rencontre avec une psychogénéalogiste va éclairer la problématique et l’enchainement des maladies et des morts qui semble inéluctable. Une course contre la mort se met en place pour maitriser le processus mystérieux. Et pourtant…

Les liens se font, la compréhension éclaire la situation qui semble pourtant inextricable. Des rencontres inopinées arrivent comme par miracle par-delà le temps. Mais voir ne résout rien. Pour rompre ce lien néfaste, il y a une action concrète à faire qui libèrera l’ensemble de la chaine. 22 jours, c’est le temps dont Marjorie et Éloïse disposent pour résoudre l’énigme liée à leurs ancêtres. Passé ce délai, l’une mourra et l’autre deviendra folle. Peut-être…
Le serment est un polar original, le premier thriller psycho généalogique et une formidable histoire de sororité. À la fois tendre et inquiétant, vous risquez de rire comme de frémir. Bruges la belle endormie y a la part belle tout au long de cette enquête transgénérationnelle.

De Paris à Bruges, le temps presse pour exorciser le passé avant les trente ans de Marjorie.
Notre passé pourrait-il être conservé quelque part sans que nous en ayons forcément conscience ?

Lisez, tremblez, régalez-vous !

Et si nos peurs, nos blocages, nos silences… ne nous appartenaient pas tout à fait ?

Il est des fardeaux que l’on porte sans les comprendre. Des émotions qui surgissent sans cause apparente, des schémas qui se répètent de génération en génération, comme des refrains anciens murmurés à notre insu. On les croit nôtres, ces chagrins muets et ces sabotages invisibles. Et pourtant…

La psycho-généalogie nous invite à remonter le fil de notre histoire familiale, à explorer le non-dit, à questionner les absents. À découvrir, parfois avec vertige, que certains traumatismes se transmettent comme une mémoire dormante, inscrite dans nos gestes, nos choix, nos silences.

On hérite de bien plus que des traits du visage ou la couleur des yeux. On hérite aussi de blessures anciennes, de secrets étouffés, de promesses rompues. Mais en nommant ces héritages, en les regardant en face, il devient possible de les déposer. De ne plus être l’écho, mais la voix.

Car comprendre d’où l’on vient, c’est commencer à choisir où l’on va.

Rompre certains liens ou assumer certaines empreintes de nos lignées nous permettent de nous libérer et avec nous des lignées à venir

Sur l’île enchanteresse de Porquerolles, bercée par le chant des cigales et les effluves marines, vit Mélodie Miller, Franco-Américaine au cœur multiple. Entourée de son mari, loin de l’agitation parisienne où ses trois enfants – deux filles, un fils – tracent leur chemin entre études et premiers envols, elle cultive un art de vivre singulier, entre solitude choisie et éclats d’imaginaire.

Introvertie assumée, optimiste jusqu’à la dernière étoile, Mélodie partage son temps entre l’écriture – son refuge –, les voyages – ses fenêtres ouvertes –, la photographie – sa façon de capter l’instant – et la pâtisserie, avec cette précision tendre qu’elle applique aussi à ses intrigues. Mais que l’on ne s’y trompe pas : derrière ses douceurs sucrées, une autre saveur l’habite… celle de la peur.

Depuis l’enfance, la nuit la trouble. Le silence pesant, les volets qui grincent, les cimetières – surtout les cimetières – peuplent ses frayeurs et nourrissent son imaginaire. Ne la laissez jamais seule dans une maison, même parfaitement ordinaire : l’ombre pourrait s’y glisser. C’est de cette tension, de ces cauchemars récurrents, qu’est né son premier roman. Un thriller qu’elle a écrit en frissonnant, en relisant Shining de Stephen King à la lumière d’une veilleuse bienveillante.

Mélodie aime aussi creuser les racines : passionnée de généalogie et de psychologie, elle a commencé à dessiner les branches de son arbre familial à l’âge de quinze ans. Elle a grandi au rythme des Rougon-Macquart, s’est nourrie de vies entremêlées, de destins tragiques et de secrets enfouis. Pour elle, écrire, c’est aussi exhumer.

Autrice auto-éditée, elle tisse un lien précieux avec ses lectrices et lecteurs. Elle aime qu’on lui écrive, qu’on lui raconte.

Vous la trouverez sur Instagram et Facebook (@melodie.miller.autrice), sur TikTok (@melodiemillerbooks), ou encore par mail (melodie.miller.autrice@gmail.com). Et si vous laissez un commentaire sur Amazon, sachez que c’est, pour elle, une véritable déclaration d’encouragement.

Chaque semaine, sa newsletter distille une dose de bonne humeur, des confidences d’écriture et des conseils sincères. Une lettre comme une madeleine au goût de suspense. Mélodie Miller n’écrit pas seulement des livres : elle écrit pour ne pas avoir peur, et pour que vous frémissiez juste ce qu’il faut, à la première page comme à la dernière nuit…

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